"L'enfant qui souffre, n'a pas le temps d'attendre."

                                                                                    A.DANAN

    
C’est en 1936 qu’Alexis Danan, journaliste et grand reporter, prit conscience de la misère de certains enfants en France. On lui doit la fermeture des maisons de correction, de nombreuses réformes législatives et la fondation des comités pour la protection de l’enfance.

Il y a plus de 10 ans, parler des agressions sexuelles à l'égard des enfants était encore tabou. Depuis ces situations sont de mieux en mieux repérées. Les victimes parlent parce que les professionnels et les associations de protection de l'enfance en danger peuvent les entendre, les écouter et les accompagner afin de les protéger.

Pourtant les agressions sexuelles à l'égard des enfants ont toujours existé.
C'est depuis 1985 que l'on commence à s'intéresser à cette question dans la réalité des faits. Le premier effort gouvernemental date de 1985 avec la campagne : 50 000 enfants maltraités, en parler, c'est déjà agir.

La circulaire interministérielle de 31 mars 1989, propose un programme de prévention des agressions sexuelles à l'égard des enfants.

En 1990 la France signe la convention internationale des droits de l'enfant.
Depuis 1989 la mobilisation des pouvoirs publics, des médias et des association est massive.
Toute agression sexuelle peut entraîner des troubles de la personnalité si la victime ne peut trouver écoute, aide et protection.

UN ENFANT VICTIME EST UN ENFANT QUI SOUFFRE.

Depuis certains ministres ont agrée certaines associations telles que le Comite Alexis DANAN pour intervenir en milieu scolaire au titre de la Prévention des agressions sexuelles. Une intervention annuelle a été conseillé avec obligation d'affichage dans les établissements scolaires du :
 


119 (numéro vert national)